3 Rois
3 Rois 17 : “Et Elie, le Thesbite, un des habitants de Galaad, dit à Achab : Il vit, le Seigneur Dieu d’Israël, en la présence duquel je suis ! il n’y aura pendant ces années-ci ni rosée ni pluie que selon les paroles de ma bouche. Et la parole du Seigneur fut adressée à Elie, disant : Retire-toi d’ici; va contre l’orient, et cache-toi près du torrent de Carith, qui est contre le Jourdain; Et là tu boiras au torrent; et j’ai ordonné aux corbeaux qu’ils te nourrissent là. Elie s’en alla donc, et fit selon la parole du Seigneur, et lorsqu’il s’en fut allé, il s’assit près du torrent de Carith, qui est contre le Jourdain. Et les corbeaux lui apportaient du pain et de la chair le matin, également du pain et de la chair le soir, et il buvait au torrent.
Mais après quelques jours le torrent se sécha; car il n’avait pas plu sur la terre. La parole du Seigneur lui fut donc adressée, disant : Lève-toi, et va à Sarephta, ville des Sidoniens, et tu demeureras là; car j’ai ordonné là à une femme veuve qu’elle te nourrisse. Il se leva et s’en alla à Sarephta. Et lorsqu’il fut venu à la porte de la ville, il aperçut une femme veuve qui ramassait du bois; et il l’appela, et lui dit : Donne-moi un peu d’eau dans le vase, afin que je boive. Et lorsque celle-ci allait pour en apporter, il cria derrière elle, disant : Apporte-moi aussi, je te prie, un peu de pain en ta main. Elle lui répondit : Le Seigneur ton Dieu vit ! je n’ai point de pain, mais seulement dans la cruche autant de farine qu’une main peut en contenir, et un peu d’huile dans le flacon. Voilà que je ramasse deux morceaux de bois, pour que j’entre et que je fasse du pain pour moi et pour mon fils, aiin que nous mangions, et que nous mourions.
Elie lui dit : Ne crains point; mais va, et fais comme tu as dit; cependant fais pour moi auparavant, avec ce peu de farine même, un petit pain cuit sous la cendre, et apporte-le moi; mais pour toi et pour ton fils, tu en feras ensuite. Car voici ce que dit le Seigneur Dieu d’Israël : La cruche dé la farine ne manquera point, et le flacon de l’huile ne diminuera point, jusqu’au jour où le Seigneur doit donner de la pluie sur la face de la terre.
Cette femme s’en alla donc, et fit selon la parole d’Elie; et il mangea lui-même, et elle et sa maison; et depuis ce jour-là la cruche de farine ne manqua point, et l’huile du flacon ne diminua point, selon la parole que le Seigneur avait dite par l’entremise d’Elie.
Or il arriva ensuite que le fils de cette femme, mère de famille, fut malade; et sa maladie fut très violente, en sorte qu’il ne restait pas en lui un souffle. Cette femme dit donc à Elie : Qu’importe à moi et à toi, homme de Dieu ? Es-tu entré chez moi pour renouveler la mémoire de mes péchés et pour faire mourir mon fils ? Et Ehe lui répondit : Donne- moi ton fils. Et il le prit de dessus son sein, le porta dans la chambre où lui-même demeurait, et il le mit sur son lit.
Puis il cria au Seigneur et dit : Seigneur mon Dieu, même la veuve chez laquelle moi-même en tout cas je suis nourri, vous l’avez affligée au point de faire mourir son fils ? Et il s’étendit et se rapetissa sur l’enfant jusqu’à sa mesure, par trois fois, puis il cria au Seigneur et dit : Seigneur mon Dieu, je vous conjure, que l’âme de cet enfant retourne en son corps. Et le Seigneur exauça la voix d’Elie, et î’àme de l’enfant retourna en lui, et il revécut.
Alors Elie prit l’enfant, le mena de sa chambre au bas de la maison, le remit à sa mère, et lui dit : Vois, ton fils vit. Et la femme répondit à Ehe : Maintenant je reconnais en cela que tu es un homme de Dieu, et que la parole du Seigneur en ta bouche est véritable.” 1
3 Rois 18 : “Après bien des jours, la parole de Dieu fut adressée à Elie, en la troisième année, disant : Va, et montre-toi à Achab, afin que je donne de la pluie sur la surface de la terre. Elie alla donc pour se montrer à Achab; cependant la famine était grande dans Samarie. Et Achab appela Abdias, intendant de sa maison; mais Abdias craignait fort le Seigneur; Car, lorsque Jézabel tuait les prophètes du Seigneur, lui prit cent prophètes qu’il cacha dans les cavernes, cinquante dans l’une et cinquante dans l’autre, et il les nourrit de pain et d’eau.
Achab dit donc à Abdias : Va dans le pays, à toutes les sources d’eaux et à toutes les vallées, pour voir si nous pourrons trouver de l’herbe, sauver des chevaux et des mulets, et si les bêtes ne périront pas totalement. ïls se partagèrent donc les contrées pour les parcourir : Achab allait par une voie, et Abdias par une autre séparément. Et lorsque Abdias était en chemin, Elie vint à sa rencontre : lorsque Abdias l’eut reconnu, il tomba sur sa face et dit : Est-ce vous, Elie, mon seigneur ? Il lui répondit : C’est moi. Va, et dis à ton maître : Elie est là.
Alors Abdias : En quoi ai-je péché, dit-il, puisque vous me livrez, moi, votre serviteur, à la main d’Achab, pour qu’il me tue ? Le Seigneur votre Dieu vit ! il n’y a point de nation ou de royaume où mon seigneur n’ait envoyé, vous cherchant, et, tous lui répondant : Il n’est pas ici, il a adjuré chaque royaume et chaque nation que vous n’aviez pas été trouvé.
Et vous maintenant vous me dites : Va, et dis à ton maître : Elie est là. Et lorsque je me serai éloigné de vous, l’Esprit du Seigneur vous transportera en un lieu que j’ignore; et étant entré, j’avertirai Achab, et ne vous trouvant pas, il me tuera : or votre serviteur craint le Seigneur depuis son enfance. Ne vous a-t-on pas rapporté, à vous, mon seigneur, ce que je fis lorsque Jézabel tuait les prophètes du Seigneur, et que je cachai d’entre les prophètes du Seigneur, cent hommes dans les cavernes, cinquante puis cinquante, et que je les nourris de pain et d’eau ? Et vous maintenant, vous me dites : Va, et dis à ton maître : Elie est là; est-ce pour qu’il me tue ? Et Elie lui répondit Il vit le Seigneur des armées, devant le visage duquel je suis ! je paraîtrai aujourd’hui devant Achab.
Abdias alla donc à la rencontre d’Achab, et l’avertit; et Achab vint à la rencontre d’Elie. Et lorsqu’il le vit, il demanda : Es-tu celui qui troubles Israël ? Et Elie lui répondit : Ce n’est pas moi qui ai troublé Israël, mais vous et la maison de votre père, qui avez abandonné les commandements du Seigneur, et qui avez suivi Baal.
Cependant envoyez maintenant, et faites assembler devant moi tout Israël sur la montagne du Carmel, et les quatre cent cinquante prophètes de Baal, et les quatre cents prophètes des bois sacrés qui mangent de la table Jézabel. Achab envoya vers tous les enfants d’Israël, et il assembla les prophètes sur la montagne du Carmel. Or Elle, s’approchant de tout le peuple, dit : Jusqu’à quand boiterez-vous des deux côtés ? Si le Seigneur est Dieu, suivez-le; mais si c’est Baal, suivez-le. Et le peuple ne lui répondit pas un mot.
Et Elie dit encore au peuple : Moi, prophète du Seigneur, je suis demeuré seul; mais les prophètes de Baal sont quatre cent cinquante hommes. Qu’on nous donne deux boeufs, et qu’eux se choisissent un boeuf, et que le coupant par morceaux, ils le mettent sur le bois, et qu’ils ne mettent point de feu dessous; et moi je sacrifierai l’autre boeuf, je le mettrai aussi sur le bois, mais je ne mettrai point de feu dessous. Invoquez les noms de vos dieux, et moi, j’invoquerai le nom de mon Seigneur; et que le Dieu qui exaucera par le feu, soit, lui seul, Dieu.
Tout le peuple répondant, dit : La proposition est très bonne. Elie dit donc aux prophètes de Baal : Choisissez-vous un boeuf, et sacrifiez les premiers, parce que vous êtes en plus grand nombre, et invoquez les noms de vos dieux; mais ne mettez point de feu dessous. Lorsqu’ils eurent pris le boeuf qu’il leur avait donné, ils sacrifièrent, et ils invoquaient le nom de Baal depuis le matin jusqu’à midi, disant : Baal, exaucez-nous. Mais il n’y avait point de voix, ni personne qui répondît : cependant ils sautaient par-dessus l’autel qu’ils avaient fait. Et comme il était déjà midi, Elie les raillait, disant : Criez plus haut, car il est Dieu, et il parla peut-être à quelqu’un, ou il est dans une hôtellerie, ou en chemin, ou du moins il dort, qu’on le réveille.
Ils criaient donc à haute voix, et ils se faisaient des incisions, selon leur coutume, avec leurs couteaux et leurs lancettes, jusqu’à ce qu’ils fussent couverts de sang. Mais après que midi fut passé, et, qu’eux prophétisant, fut venu le temps auquel le sacrifice avait coutume d’être offert, comme aucune voix n’était entendue, et que personne ne répondait et n’était attentif à ceux qui priaient, Elie dit à tout le peuple : Venez vers moi. Et le peuple s’étant approché de lui, il rétablit l’autel du Seigneur, qui avait été détruit. Et il prit douze pierres, selon le nombre des tribus des enfants de Jacob, à qui avait été adressée la parole du Seigneur, disant : Israël sera ton nom. Et il bâtit de ces pierres un autel au nom du Seigneur; il fit une rigole, comme entre deux petits sillons autour de l’autel. Et il rangea le bois, et il coupa le boeuf par morceaux et le mit sur le bois, et il dit : Remplissez quatre cruches d’eau, et répandez-les sur l’holocauste et sur le bois. Et de nouveau il dit : Faites encore cela une seconde fois. Et lorsqu’ils l’eurent fait une seconde fois, il dit : Faites encore cette même chose une troisième fois. Et ils la firent une troisième fois, et les eaux couraient autour de l’autel, et la fosse de la rigole était remplie.
Et lorsque déjà il était temps que l’holocauste fût offert, Elie le prophète s’approchant, dit : Seigneur Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, montrez aujourd’hui que vous êtes le Dieu d’Israël, et que moi je suis votre serviteur, et que c’est par votre ordre que j’ai fait toutes ces choses. Exaucez-moi, Seigneur, exaucez-moi, afin que ce peuple apprenne que vous êtes le Seigneur Dieu, et que c’est vous qui avez converti leur coeur de nouveau.
Or le feu du Seigneur tomba, et dévora l’holocauste, le bois et les pierres, la poussière même, et l’eau qui était dans la rigole autour de l’autel. Ce que tout le peuple ayant vu, il tomba sur sa face, et dit : C’est le Seigneur qui est Dieu, c’est le Seigneur qui est Dieu. Alors Elie leur dit : Prenez les prophètes de Baal, et qu’il n’en échappe pas même un seul d’entre eux. Lorsqu’ils les eurent pris, Elie les mena au torrent de Cison, et il les tua là. Ensuite Elie dit à Achab : Montez, mangez et buvez; car voici le bruit de la grande pluie. Achab monta pour manger et pour boire.
Or Elie monta sur le sommet du Carmel, et incliné vers la terre, il mit sa face entre ses genoux, et il dit à son serviteur : Monte, et regarde contre la mer. Lorsque celui-ci eut monté et regardé, il dit : Il n’y a rien. Et de nouveau Elie lui dit : Retourne par sept fois. Mais la septième fois, voilà qu’un petit nuage, comme une trace de pied d’homme, s’élevait de la mer. Elie dit : Monte, et dis à Achab : Attelez votre char, et descendez pour ne pas que la pluie vous surprenne.
Et comme il se tournait d’un côté et d’un autre, voilà les cieux couverts de ténèbres, et des nuées, et un vent, et une grande pluie. Montant donc, Achab s’en alla à Jezrahel : Et la main du Seigneur fut sur Elie; et, les reins ceints, il courait devant Achab, jusqu’à ce qu’il vînt à Jezrahel.” 2
3 Rois 19 : “Or Achab annonça à Jézabel tout ce qu’avait fait Elie, et de quelle manière il avait tué par le glaive tous les prophètes. Et Jézabel envoya un messager à Ehe, disant : Que les dieux me fassent ceci, et qu’ils ajoutent cela, si demain à cette heure, je ne mets ton âme comme l’âme de chacun d’eux ! Elie craignit donc, et, se levant, il s’en alla partout où le portait son désir; or il vint à Bersabée en Juda, et là il renvoya son serviteur, et il fit dans le désert le chemin d’une journée. Or lorsqu’il fut venu, et qu’il se fut assis sous un genièvre, il demanda pour son âme de mourir, et il dit : C’est assez pour moi. Seigneur, prenez mon âme; car je ne suis pas meilleur que mes pères.
Et il se jeta parterre, et s’endormit à l’ombre du genièvre; et voilà qu’un ange du Seigneur le toucha, et lui dit : Lève-toi, et mange. Il regarda, et voilà auprès de sa tête un pain cuit sous la cendre et un vase d’eau; il mangea donc et but, et de nouveau il s’endormit. Et lange du Seigneur revint une seconde fois, le toucha, et lui dit : Lève-toi, et mange; car il te reste un grand chemin. Et, lorsqu’il se fut levé, il mangea et but ; et il marcha, fortifié par cette nourriture, quarante jours et quarante nuits, jusqu’à Horeb, la montagne de Dieu.
Or, lorsqu’il fut arrivé là, il demeura dans la caverne; et voilà que la parole du Seigneur lui fut adressée, et lui dit : Que fais-tu ici, Elie ? Or lui répondit : Je brûle d’un grand zèle pour vous, Seigneur Dieu des armées, parce que les enfants d’Israël ont abandonné votre alliance; ils ont détruit vos autels, ils ont tué vos prophètes par le glaive, et je suis resté moi seul, et ils cherchent mon âme pour la détruire.
Alors le Seigneur lui dit : Sors, et tiens-toi sur la montagne devant le Seigneur : et voilà que le Seigneur passa, et un vent violent et impétueux renversant des montagnes et brisant des rochers devant le Seigneur, et le Seigneur n’était point dans le vent; et après le vent, un tremblement de terre, et le Seigneur n’était pas dans le tremblement; et après le tremblement, un feu, et le Seigneur n’était point dans le feu; et après le feu, vint le souffle d’une brise légère. Ce qu’ayant entendu. Elie couvrit son visage de son manteau, et étant sorti, il se tint à l’entrée de la caverne; et voilà qu’une voix vint à lui, disant : Que fais-tu là, Elie ? Et lui répondit :
Je brûle d’un grand zèle pour vous, Seigneur Dieu des armées, parce que les enfants d’Israël ont abandonné votre alliance; ils ont détruit vos autels, ils ont tué vos prophètes par le glaive, et je suis resté moi seul, et ils cherchent mon âme pour la détruire. Et le Seigneur lui dit : Va, et retourne en ta voie par le désert, à Damas; et, lorsque tu y seras arrivé, tu oindras Hazaël roi sur la Syrie. Tu oindras encore Jéhu, fils de Namsi, roi sur Israël; mais Elisée, fils de Saphat, qui est d’Abelméhula, tu l’oindras prophète en ta place.
Et il adviendra que quiconque aura échappé au glaive d’Hazaël, Jéhu le tuera; et quiconque aura échappé au glaive de Jéhu, Elisée le tuera. Et je me réserverai dans Israël sept mille hommes dont les genoux n’ont pas fléchi devant Baal, et toute bouche qui ne l’a pas adoré en baisant ses mains.
Etant donc parti de là, Elie trouva Elisée, fils de Saphat, qui labourait avec douze paires de boeufs; et lui-même était un de ceux qui labouraient avec les douze paires de boeufs. Et lorsqu’il fut venu vers Elisée, il jeta son manteau sur lui. Elisée aussitôt, ses boeufs abandonnés, courut après Elie, et dit : Que j’embrasse, je vous prie, mon père et ma mère, et alors je vous suivrai. Et il lui répondit : Va, et reviens; car j’ai fait pour toi ce que j’avais à faire. Elisée, ayant quitté Elie, prit une paire de boeufs et les tua; et avec la charrue des boeufs il fit cuire la chair, et la donna au peuple, et ils mangèrent; alors, se levant, il s’en alla, suivit Elie; et il le servait.” 3
3 Rois 21:17-29 : “La parole du Seigneur fut donc adressée à Elle, le Thesbite, disant : Lève-toi, et descends à la rencontre d’Achab, roi d’Israël, qui est dans Samarie : car voilà qu’il descend dans la vigne de Naboth pour en prendre possession. Et tu lui parleras, disant : Voici ce que dit le Seigneur : Tu as tué, et de plus tu as pris possession. Et après cela, tu ajouteras : Voici ce que dit le Seigneur : En ce même lieu dans lequel les chiens ont léché le sang de Naboth, ils lécheront aussi ton sang. Et Achab dit à Elie : Est-ce que tu m’as trouvé ton ennemi ? Elie lui répondit : Je vous ai trouvé tel, parce que vous vous êtes vendu pour faire le mal en la présence du Seigneur. Voilà que j’amènerai des maux sur toi; je moissonnerai ta postérité, et je tuerai d’Achab celui qui urine contre une muraille, celui qui est renfermé, et celui qui est le dernier dans Israël. Et je rendrai ta maison comme la maison de Jéroboam, fils de Nabath, et comme la maison de Baasa, fils d’Ahia, parce que tu as agi de manière à provoquer mon courroux, et que tu as fait pécher Israël.
Mais le Seigneur a parlé aussi de Jézabel, disant : Les chiens mangeront Jézabel dans la campagne de Jezrahel. Si Achab meurt dans la ville, les chiens mangeront sa chair; et s’il meurt dans la campagne, les oiseaux du ciel le mangeront. Ainsi, il n’y eut point un autre semblable à Achab, qui se vendit pour faire le mal en la présence du Seigneur; car Jézabel, sa femme, l’excita, et il devint tellement abominable, qu’il suivait les idoles qu’avaient faites les Amorrhéens, que le Seigneur extermina à la face des enfants d’Israël.
C’est pourquoi, lorsque Achab eut entendu ces paroles, il déchira ses vêtements, couvrit sa chair d’un cilice, jeûna et dormit avec le sac, et marcha la tête baissée. Et la parole du Seigneur fut adressée à Elie, le Thesbite, disant : N’as-tu pas vu Achab humilié devant moi ? Puis donc qu’il s’est humilié à cause de moi, je n’amènerai pas le malheur en ses jours, mais pendant les jours de son fils, je porterai le malheur dans sa maison.” 4