Coulpe
“De même, nous ordonnons qu’indépendamment du chapitre conventuel que vous devez tenir chaque dimanche, comme il est prescrit par la Règle, tous les soirs après le souper on fasse la correction des fautes légères que les Frères auraient commises.
Et afin qu’elles soient mieux connues et mieux corrigées, on assignera chaque semaine sur la table des offices un zélateur qui sera chargé de déclarer avec charité les manquements qu’il aura remarqués en tel ou tel. Celui qui sera accusé devra se prosterner immédiatement le front contre terre et ne se relèvera, ni ne répliquera, ni ne se disculpera, jusqu’à ce que le prieur lui en donne le signal, sous peine d’une discipline pendant un De profundis.” 1
Marie-René 1896, t. 3, p. 302. ↩︎