Soin des malades

“De même, en ce qui concerne la prescription de la Règle primitive qui défend de manger de la viande, nous ordonnons, pour que cette austérité puisse continuer à être fidèlement observée, que le supérieur mette une attention toute particulière à soigner et à bien traiter les malades et les convalescents, leur donnant de la viande et tout ce qu’il verra leur être nécessaire pour leur rétablissement.

Aucun malade ou covnalescent ne pourra manger hors de l’infirmerie ou du réfectoire, on ne devra pas faire usage de nappes ni de vaisselle élégante ou recherchée. Nul religieux ne pourra avoir des mets différents, mais tous seront servis de la même manière et en égale quantité.” ¹