Oraison
François de Sainte Marie : “Il ordonnèrent deux heures d’oraison qu’ils faisaient à genoux dans le choeur en communauté…” 1
François de Sainte Marie : “… il [le Père Antoine] établit en ce couvent [de Pastrane] l’oraison continuelle, qui y fut maintenue après qu’il s’en fut retourné à Durvele, et qui y persévère encore aujourd’hui avec autant d’exactitude et de fidélité, qu’au commencement…
Le supérieur ou un autre religieux qui est député de sa part, écrit une table ou un catalogue, dans lequel il distribue à tous les religieux, les heures du jour et de la nuit pour faire oraison devant le très-saint Sacrement : pendant les heures du jour il n’y a qu’un religieux à chaque fois qui est assigné : mais pendant celles de la nuit, il y en a toujours deux ensemble qui font leurs prières.
La fin de cette oraison, c’est de demander à Dieu son assistance pour toutes les nécessités de l’Eglise, d’implorer l’abondance de son saint Esprit pour le Pape, d’obtenir de continuelles bénédictions pour le Roy et pour son Etat, et de lui recommander l’illustre famille de Pastrane.” 2