Excommuniés à éviter

E. Jombart, commentaire du can. 2267, 1958 : “Les rapports de la vie, civile (conversations, cohabitation ou association, etc) sont interdits aux fidèles avec le vitandus, sauf au conjoint, aux parents, aux enfants, aux domestiques, aux sujets et généralement à moins d’avoir une excuse raisonnable (C. 2267). Les termes très adoucis de cette règle font admettre que sa violation ne dépasse pas la faute vénielle.” ¹

Droit canonique de 1917, can. 2258 : “p.1 Certains excommuniés sont “à éviter”, d’autres sont “tolérés”. p.2 Personne n’est “à éviter”, s’il n’a été nommément excommunié par le Siège apostolique, si l’excommunication n’a pas été rendue publique et si le décret ou la sentence ne déclare expressément que le coupable doit être évité, sauf le cas du Can. 2343 p.1 n1.” ²

Droit canonique de 1917, can. 2343, p1, n1 : “p.1 Celui qui se livre à des voies de fait sur la personne du Pontife romain : n1) Contracte une excommunication “latae sententiae” très spécialement réservée au Siège apostolique et est par le fait “à éviter”.” ³

Droit canonique de 1917, can. 2267 : “Les fidèles doivent éviter les relations en matière profane avec le “à éviter”, à moins qu’il ne s’agisse du conjoint, des parents, des enfants, des domestiques, des subordonnés, et en général, à moins d’une excuse raisonnable.” ⁴