Foi catholique traditionnelle
Visitez le site vaticancatholique.com pour des informations cruciales sur la foi catholique traditionnelle.

Dans la Tradition

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 3, canon 3, de la Foi, 24 avril 1870 : “1° Si quelqu’un dit que la raison humaine est tellement indépendante que Dieu ne peut exiger d’elle la loi; qu’il soit anathème.

2° Si quelqu’un dit que la foi divine n’est point distincte de la science naturelle sur Dieu et sur les choses de la morale, et qu’en conséquence, la foi divine ne requiert point qu’une vérité révélée soit admise à cause de l’autorité de Dieu qui révèle; qu’il soit anathème.

3° Si quelqu’un dit que la révélation divine ne peut pas être rendue croyable par des signes extérieurs, et que, pour cela, l’expérience intérieure de chacun ou l’inspiration privée doivent seules conduire les hommes à la loi; qu’il soit anathème.

4° Si quelqu’un dit qu’aucun miracle ne saurait avoir lieu, et que, par cela même, tous les récits qui nous en sont faits, même dans la sainte Ecriture, doivent être relégués parmi les fables et les mythes; ou que les miracles ne peuvent jamais être connus avec certitude, et qu’ils ne peuvent prouver solidement la divine origine de la religion chrétienne; qu’il soit analhème.

5° Si quelqu’un dit que l’assentiment à la foi chrétienne n’est pas libre, mais qu’il est produit nécessairement par des arguments de la raison humaine (par des arguments purements humains), ou que la grâce de Dieu n’est nécessaire que pour la foi vive qui opère par la charité; qu‘il soit anathème.

6° Si quelqu’un dit que la condition des fidèles est la même que la condition de ceux qui ne sont pas encore parvenus à la seule foi véritable, en sorte que les catholiques peuvent avoir une juste raison de suspendre leur assentiment pour révoquer en doute la foi que, sous le magistère de l‘Eglise, ils ont déjà embrassée, jusqu’à ce qu’ils aient trouvé une démonstration scientifique de la crédibilité et de la vérité de leur foi; qu’il soit anathème.

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 3, canon 4, de la Foi et de la raison, 24 avril 1870 : “1° Si quelqu’un dit que la révélation divine ne contient point de vrais mystères, de mystères proprement dits, mais que tous les dogmes de la foi peuvent, à l’aide d’une raison exercée, être compris et démontrés par les principes naturels; qu’il soit anaihème.

2° Si quelqu’un dit que les sciences humaines doivent être traitées avec une telle liberté, que leurs assertions, malgré leur opposition avec la doctrine révélée, peuvent être maintenues comme vraies, et que l’Eglise n’a pas le droit de les condamner; qu’il soit anathème.

3° Si quelqu’un dit que, eu égard aux progrès des sciences, il peut arriver qu’il faille donner quelquefois aux dogmes proposés par 1’Eglise un sens différent de celui qui a été compris et qui est compris par l’Eglise; qu’il soit anathème.” 1

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 3, de la Foi, 24 avril 1870 : “Puisque l’homme dépend tout entier de Dieu comme son créateur et maître, et puisque la raison créée est entièrement sujette de la vérité incréée, nous sommes tenus de donner, par la foi, à Dieu qui révèle, le plein assentiment de notre intelligence et de notre volonté. Et cette foi, qui est pour les hommes le commencement du salut, l’Eglise catholique professe qu’elle est une vertu surnaturelle par laquelle, au souflle de Dieu et aidés par sa grâce, nous croyons vrai ce qu’il nous révèle, non à cause que la lumière naturelle de notre raison nous découvre la vérité intrinsêque des choses, mais à cause de l’autorité de Dieu même, l’auteur de la révélation et qui ne peut ni se tromper, ni nous tromper; car, au témoignage de l’Apôtre, la foi est la substance (ou le fondement) des choses que nous devons espérer, et l’argument (ou la conviction) de celles que nous ne voyons pas.

Néanmoins, pour que la soumission de notre foi fût en parfaite conformité avec la raison, Dieu a voulu joindre aux secours intérieurs du Saint-Esprit les arguments extérieurs (ou les preuves extérieures) de sa révélation, à savoir les faits divins, et principalement les miracles et les prophéties qui, en montrant avec évidence la toute-puissance et la science infinie de Dieu, sont les signes de la divine révélation; signes très-assurés et appropriés à toutes les intelligences. C’est pourquoi Moïse et les prophètes, et principalement Notre-Seigneur Jésus-Christ, ont fait en grand nombre les miracles les plus manifestes et des prophéties; et, nous lisons des Apôtres : “Eux, étant partis, préchèrent partout, le Seigneur coopérant avec eux et confirmant leur parole par les miracles dont elle était accompagnée”. Et il est encore écrit : “Nous avons des oracles des prophètes, dont la certitude est encore mieux établie, sur lesquels vous faites bien d’arréter les yeux comme sur un tombeau qui luit dans un lieu obscur.

Mais, quoique l’assentiment de la foi ne soit point un mouvement aveugle de l’âme, nul cependant ne peut adhérer, comme il est nécessaire pour le salut, à la prédication de l’Evangile, s’il n’est éclairé et mû par le Saint-Esprit, qui nous fait trouver la douceur à consentir et à croire à la vérité.

Aussi la foi, considérée en elle-même et quand même elle n’opère point par la charité, est un don de Dieu, et son acte est une oeuvre qui appartient au salut, acte par lequel l’homme rend à Dieu méme une obéissance libre, en consentant et en coopérant à sa grâce, à laquelle il pourrait résister.

Or, par la loi divine et catholique, nous devons croire tout ce qui est contenu dans la parole écrite et traditionnelle de Dieu, et que l’Eglise, soit par un jugement solennel, soit par son magistère ou enseignement ordinaire et universel, propose à notre foi comme étant divinement révélé.

Mais parce que, sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu et de parvenir à être compté dans le nombre de ses enfants, personne sans la foi ne peut jamais être justifié, et personne, à moins qu’il ne persévère jusqu’à la fin dans la foi, n’obtiendra la vie éternelle; et afin de pouvoir satisfaire à l’obligation d’embrasser la foi véritable, comme aussi d’y persévérer constamment, Dieu, par son Fils unique, a institué l‘Eglise, et il l’a marquée au front des marques visibles de son institution, afin que tous puissent reconnaître en elle la gardienne et la maîtresse de la parole révélée. Et, en effet, ce n’est qu’à la seule Eglise catholique qu’appartiennent tous ces caractères si nombreux et si admirables que la divine Providence a disposés pour rendre évidente la crédibilité de la foi chrétienne. Il y a plus : l’Eglise, grâce à sa prodigieuse propagation, à sa sainteté incomparable, à sa fécondité inépuisable pour toutes sortes de biens, grâce à son unité catholique et à son invincible stabilité, l‘Eglise est par elle—même un grand et perpétuel motif de crédibilité et un irréfragable témoignage de sa divine mission.

De là vient qu’elle est elle-même comme le signe élevé parmi les nations, et qu’elle invite à venir à elle ceux qui n’ont pas encore cru, et qu’elle rend ses enfants certains que la foi qu’ils professent repose sur le fondement le plus assuré. A ce témoignage se joint encore le secours efficace de la puissance d’en haut. Le Dieu très-bon, en effet, excite et aide, par sa grâce, ceux qui sont dans l’erreur, pour qu’ils puissent venir à la connaissance de la vérité; et quant à ceux qu’il a transportés de leurs ténèbres dans son admirable lumière, il les confirme par sa grâce dans cette même lumière, afin qu’ils persévèrent : n‘abandonnant jamais que ceux qui l’abandonnent. Il n’y a donc aucune parité entre la condition de ceux qui, par le don divin de la foi, adhèrent à la vérité catholique, et la condition de ceux qui, conduits par des opinions humaines, suivent une fausse religion. Ceux, en effet, qui, sous le magistère de l’Eglise, ont reçu la foi, ne peuvent jamais avoir une juste raison de changer ou de révoquer en doute cette même foi. Les choses étant ainsi, rendons grâce à Dieu le Père, qui nous a faits dignes de partager, dans sa lumière, le sort des saints; ne négligeons pas un salut d’une telle importance; mais, tenant les yeux attachés sur Jésus, l’auteur et le consommateur de notre foi, soyons inébranlables dans la confession de notre espérance.” 2

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 3, de la Foi et de la raison, 24 avril 1870 : “Le consentement perpétuel de l’Eglise catholique a tenu aussi et tient qu’il y a deux ordres de connaissance, et que ces deux ordres sont distincts, non-seulement par leur principe, mais encore par leur objet : par leur principe d’abord, parce que dans l’un c’est par la lumière naturelle de notre raison, et dans l’autre par la foi divine, que nous connaissons. Par leur objet ensuite, parce que, indépendamment de ce que peut atteindre la raison naturelle, des mystères cachés en Dieu sont proposés à notre croyance; et ces mystères ne peuvent être connus à moins que Dieu ne daigne les révéler. C’est pourquoi l’Apôtre, qui assure que Dieu a été connu des gentils par ses oeuvres, lorsqu’il disserte sur la grâce et la vérité que nous a apportées Jésus-Christ, s’écrie : Nous prêchons la sagesse de Dieu dans son mystère, qui est demeurée cachée, que Dieu a prédestinée, préparée avant tous les siècles pour notre gloire, qu’aucun des princes de ce monde n’a connue, mais que Dieu nous a révélée par son Saint-Esprit : car l’Esprit pénètre tout, même les profondeurs de Dieu. Et le Fils unique de Dieu rend à son Père ce témoignage qu’il a caché ces mystères aux sages et aux prudents. et qu’il les a révélés aux petits.

Mais la raison, il est vrai, illuminée par la foi, lorsqu’elle cherche avec soin, avec piété et modération, acquiert à l’aide de Dieu une certaine intelligence des mystères, et cette intelligence est très-fructueuse. La raison acquiert cette intelligence, soit par analogie avec les choses qu’elle connaît naturellement, soit par le lien que les mystères ont entre eux et avec la fin dernière de l’homme; toutefois elle n’est jamais rendue capable de les voir à l’instar des vérités qui constituent son objet propre. Car les mystères divins dépassent tellement par leur nature l’intelligence créée, que, même après qu’ils nous ont été transmis par la révélation et que nous les avons reçus par la foi, ils demeurent cependant couverts du voile de la foi et comme enveloppés d’un certain nuage, tant que nous voyageons dans cette vie mortelle loin du Seigneur; car nous marchons vers lui par la foi et nous ne le voyons pas à découvert.

Mais quoique la foi soit au-dessus de la raison, il ne peut jamais y avoir entre la loi et la raison un désaccord, une opposition véritable. Car c’est le même Dieu qui révèle les mystères et infuse la foi, et qui a donné à l’esprit de l’homme la lumière de la raison. Or, Dieu ne peut se nier lui-même, et le vrai ne saurait jamais contredire le vrai. Les vaines apparences d’une telle contradiction viennent surtout ou de ce que les dogmes de la foi n’ont pas été compris et exposés au sens de l’Eglise, ou que de fausses opinions sont prises pour les données mêmes de la raison. Nous définissons donc que toute assertion contraire à la vérité connue par la foi est absolument fausse. L’Eglise, qui a reçu, avec la charge apostolique d’enseigner, l’ordre de garder le dépôt de la foi, a aussi la mission et le droit divin de proscrire toute fausse science, pour que personne ne soit trompé par la philosophie et les vaines subtilités. C’est pourquoi, quant à ces sortes d’opinions connues pour être contraires à la doctrine de la foi, surtout si elles ont été réprouvées par l’Eglise, non-seulement il est interdit à tous les chrétiens fidèles de les soutenir comme des conclusions légitimes de la science, mais ils sont absolument obligés de les tenir pour autant d’erreurs qui portent le masque trompeur de la vérité.

Et non-seulement la foi et la raison ne peuvent jamais se combattre, mais elles se portent un mutuel secours, puisque la droite raison démontre les fondements de la foi, et qu’éclairée par sa lumière elle cultive la science des choses divines. Quant à la foi, elle délivre et préserve la raison des erreurs, et lui fournit d’amples connaissances. Tant s’en faut donc que l’Eglise s’oppose à la culture des arts et des sciences, qu’au contraire elle aide cette culture et la fait progresser de mille manières. Ni elle n’ignore en effet ni elle ne méprise les avantages qu’apportent aux hommes les sciences et les arts; bien plus, elle avoue que, de même que ces grandes choses viennent de Dieu, qui est le Seigneur des sciences, de même elles doivent, si elles sont traitées ainsi qu’il convient, avec le secours de la grâce, nous ramener à Dieu. La religion n’empêche certes pas que ces sortes de sciences n’usent dans leur domaine des principes et des méthodes qui leur sont propres; mais, tout en reconnaissant cette juste liberté, elle est pleine de vigilance et prend garde que les sciences dans leur opposition à la doctrine divine, n’embrassent des erreurs, ou que, franchissant leurs propres frontières, elles ne se jettent, pour y porter la perturbation, sur le terrain de la foi.

Ce n’est pas, en effet, comme une découverte philosophique susceptible de recevoir les perfectionnements de l’esprit humain, que la doctrine de la foi révélée de Dieu nous a été proposée, mais c’est comme un dépôt divin confié à l’épouse de Jésus-Christ pour qu’elle le garde et le proclame infaillibtement. Il suit de là qu’on doit retenir à jamais pour les dogmes saints le sens qu’a une fois défini notre sainte mère l’Eglise; et jamais, sous le faux prétexte de les mieux entendre, il ne faut s’écarter de ce sens. Qu’elles croissent donc et progressent magnifiquement et avec rapidité avec le progrès des âges et des siècles, l’intelligence, la science, la sagesse de chacun et celles de tous, celles d’un seul homme comme celles de toute l’Eglise, pourvu que ce soit seulement dans leur genre, c‘est-à-dire dans le même dogme, dans le même sens, dans le même sentiment.” 3

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 3, de la Révélation, 24 avril 1870 : “Mais parce que, sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu et de parvenir à être justifié, et personne, à moins qu’il ne persévère jusqu’à la fin dans la foi, n’obtiendra la vie éternelle; et afin de pouvoir satisfaire à l’obligation d’embrasser la foi véritable, comme aussi d’y persévérer constamment, Dieu, par son Fils unique, a institué l’Eglise, et il l’a marquée au front des marques visibles de son institution, afin que tous puissent reconnaître en elle la gardienne et la maîtresse de la parole révélée.” 4

Pape Pie XI, Mortalium animos, 1928 : “… puisque la charité a pour fondement une foi intègre et sincère, c’est l’unité de foi qui doit être le lien principal unissant les disciples du Christ.” 5

Saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, p. 3, q. 5, a. 3 : “… dans un hérétique qui nie un article de foi, il n’y a plus ni foi formée, ni foi informe.” 6

Saint Pierre Canisius, Le grand catéchisme : “Le premier objet de la doctrine chrétienne c’est la foi, qui est comme la porte de notre salut, et sans laquelle personne dans cette vie ne peut trouver Dieu, ni par conséquent l’invoquer, le servir et lui plaire.” 7

S. Augustin, Serm. 38 de temp. : “Il est certain que personne ne peut parvenir à la véritable félicité s’il n’est agréable à Dieu, et que personne ne peut être agréable à Dieu que par la foi. La foi, en effet, est le fondement de tous les biens. La foi est le principe de notre salut. Sans elle personne ne saurait participer à la dignité des enfants de Dieu, parce que sans elle ni on ne peut obtenir la grâce de la justification dans le siècle présent, ni on ne pourra posséder la vie éternelle dans le siècle à venir.” 8

Saint Pierre Canisius, Le grand catéchisme : “La foi est un don de Dieu, et une lumière dont il éclaire notre âme, pour nous porter à donner notre assentiment et à nous attacher fermement à tout ce qu’il nous a révélé, et qu’il nous propose à croire par son Eglise.” 9

Cours d’instruction religieuse : “La foi est une vertu surnaturelle par laquelle nous croyons fermement, à cause de la véracité divine, toutes les vérités que Dieu nous a révélées et qu’il nous enseigne par son Eglise.” 10

Saint Pierre Canisius, Le grand catéchisme : “… la foi ne consulte point l’ordre de la nature, ne s’en rapporte point à l’expérience que les sens fournissent, ne s’appuie point sur la puissance et la raison de l’homme; mais elle se fonde uniquement sur la vertu et l’autorité de Dieu, assurée qu’elle est que la vérité souveraine et éternelle, qui est Dieu, ne peut ni se tromper ni nous tromper.

C’est pourquoi ce qui caractérise surtout la foi, c’est de réduire tout esprit en servitude, et de nous faire rendre obéissance à Jésus-Christ, pour qui rien n’est impossible, ni même difficile. Telle est la foi, qu’on peut appeler la lumière de l’âme, la porte de la vie et le fondement du salut éternel.” 11

Saint Basile : “Ainsi donc la foi est un assentiment exempt d’hésitation à la parole de Dieu, avec l’intime persuasion de la vérité des choses qu’il a bien voulu apprendre ainsi aux hommes.” 12

Saint Jean Chrysostome : “Ce qui surpasse la raison, ne demande que d’être cru.” 13

Saint Cyrille de Jérusalem : “La foi est comme l’oeil du coeur de l’homme; elle conduit à l’intelligence.” 14

Saint Jean de la Croix : “La foi, disent les théologiens, est une habitude surnaturelle de l’âme, tout ensemble certaine et obscure. La raison de son obscurité, c’est qu’elle nous incline à croire des vérités révélées par Dieu lui-même, vérités qui dépassent la lumière naturelle et excèdent la portée de tout entendement humain.

La splendeur du soleil éclipse la lumière même. Il en est ainsi de la foi, dont on peut dire en ce sens qu’elle est obscure, parce que son éclatante lumière ne laisse plus subsister dans l’âme aucune autre lumière. L’éclat du soleil non seulement nous éblouit, mais souvent même nous aveugle, en raison de sa disproportion avec notre puissance visuelle. Ainsi en est-il de la lumière de la foi qui, par son intensité et par le mode dont Dieu se sert pour nous la communiquer, surpasse infiniment celle de notre entendement.” 15


  1. Guérin 1872, pp. 162-163. ↩︎

  2. Guérin 1872, pp. 163-164. ↩︎

  3. Guérin 1872, pp. 156-158. ↩︎

  4. Guérin 1872, pp. 158-160. ↩︎

  5. Guérin 1872, p. 157. ↩︎

  6. Consulté le 10 juin 2022. vatican.va ↩︎

  7. Drioux 1861, t. 70, p. 127. ↩︎

  8. Peltier 1873, t. 1, p. 6. ↩︎

  9. Peltier 1873, t. 1, p. 6. ↩︎

  10. Peltier 1873, t. 1, pp. 7-8. ↩︎

  11. Institut 1893, p. 79. ↩︎

  12. Peltier 1873, t. 1, p. 8. ↩︎

  13. Peltier 1873, t. 1, p. 10. ↩︎

  14. Peltier 1873, t. 1, p. 13. ↩︎

  15. Peltier 1873, t. 1, p. 13. ↩︎

0%